à propos de Lydwen... petite bio :

Eté 1991, île de Bréhat... Lydwen découvre un drôle d'instrument, la harpe celtique. Le coup de foudre est immédiat, et irréversible.
Pourtant, rien ne la prédestinait à cet instrument. En effet, plutôt portée à l'époque vers la musique rock alternative (Dead can Dance, Cocteau Twins, the Cure...) et pop-rock d'outre manche, Lydwen ne connait alors pas grand chose de la musique bretonne, et encore moins la harpe. Mais surtout un autre problème se pose, et non des moindres : Lydwen n'a jamais joué d'aucun instrument de musique auparavant!...
Qu'à cela ne tienne, elle relèvera le défi ! après quelques cours particuliers glanés de ci de là, elle entre au conservatoire de Saint-Malo fin 92, et s'essaie déjà à la composition dès la première année... la passion est bien là, définitivement ancrée.
Après trois années en classe de harpe où elle apprend les bases de l'instrument ainsi que le solfège et le chant lyrique, c'est finalement en autodidacte qu'elle va poursuivre sa muse...

Désireuse de partager ces si belles émotions que lui procure la musique, Lydwen choisit de faire ses armes en spectacle de rue, et le vieux Saint-Malo en sera le premier témoin durant l'été 99.
Ce sera selon Lydwen sa plus belle école et une réelle source d'inspiration, la rue devenant pour elle un fabuleux théâtre d'improvisation.
Commencent alors de nombreuses "vadrouilles" estivales, la harpe à l'épaule, à travers villes, parcs et jardins de Bretagne et d'ailleurs; elle s'invite aussi dans de très nombreux festivals, avec il faut l'avouer un très gros coup de coeur pour les fêtes médiévales de la région.
Grâce à ces concerts improvisés, elle se fait connaître des organisateurs et décroche ses premiers contrats.

Fin 2000, Lydwen choisit de se consacrer entièrement à la musique, abandonnant définitivement l'architecture (son ancien métier) pour ne plus suivre que sa passion, passion de musique et passion pour sa terre natale de Bretagne, celle que racontent les très anciennes légendes, la Bretagne des fées, des lutins, des dragons et des sirènes...

Au printemps 2003, Lydwen est primée aux Rencontres du Kan ar Bobl à Pontivy, l'une des plus importantes manifestations de la culture bretonne, et reçoit une mention spéciale pour la qualité de sa prestation en instrument solo. Cette reconnaissance de son travail par des professionnels de la scène bretonne l'encourage plus encore dans ses choix.

Lydwen ajoute alors une nouvelle corde à sa harpe : le conte, nous livrant au passage ces poésies qu'elle écrit depuis toujours et qu'elle met désormais en musique.

Depuis 2006, Lydwen écrit aussi pour les enfants, des petites histoires où la Nature est toujours souveraine, où les papillons parlent aux humains et où les chats rêvent de voyages dans les étoiles... des histoires inventées bien sûr mais où les enfants peuvent aussi découvrir pour de vrai « comment ça marche » dans la nature, et toutes les petites merveilles qu’elle réserve à ceux qui tout simplement ouvrent bien grand les yeux sur le monde qui les entoure...

avril 2007: Lydwen est à nouveau primée aux Rencontres du Kan ar Bobl à Pontivy, et reçoit une mention spéciale "création" pour une de ses poésies musicales.